Valence Borgia, associée du cabinet Medici et co-fondatrice de la Fondation des Femmes, a participé, en tant que membre du jury, à l’édition 2022 du concours d'éloquence de la Fondation des Femmes qui s’est tenu le 10 janvier 2022 au théâtre de l'Odéon.

Le jury était présidé par le docteur Denis Mukwege, prix Nobel de la paix.

Des candidates époustouflantes à l'éloquence jubilatoire ont captivé la salle pendant toute la soirée.

Bravo à toutes les participantes ! Et merci surtout pour cette énergie contagieuse, engagée, insolente et optimiste.

Nous sommes très fières d’avoir reçu le prix « Female Empowerment Award » selon le classement Jus Mundi qui récompense et encourage les équipes et cabinets valorisant les parcours et profils féminins dans le milieu de l’arbitrage international.

« L'arbitrage international joue un rôle essentiel dans la promotion de la justice mondiale. Les femmes jouent un rôle tout aussi important dans le succès de l'arbitrage en tant que méthode de résolution des conflits. Nous félicitons toutes les femmes travaillant dans le domaine du droit pour leur succès, et nous apprécions toutes les initiatives visant à promouvoir les praticiennes et à sensibiliser le public à cet égard. […]

En 2021, nous avons sélectionné le cabinet Medici dans le classement Equipe d'Arbitrage de l’Année dans la catégorie "Female Empowerment". Nous les récompensons pour leur cabinet entièrement dirigé par des femmes et pour donner du pouvoir à d'autres femmes. Nous reconnaissons les efforts du cabinet et encourageons tout lecteur à lire histoire de ses membres fondatrices ci-dessous. » (traduction libre)

Lien vers l’article : Arbitration Team of the Year: Female Empowerment Award – Medici | Jus Mundi Blog

Caroline Duclercq, associée du cabinet Medici, est intervenue dans le cadre du 35^ème congrès annuel de la Conférence internationale des barreaux (CIB) qui portait sur « Le droit et la justice à l’épreuve de la Covid-19 ».

Ce congrès, organisé à Libreville (Gabon) du 1^er au 3 décembre dernier a permis d’appréhender l’impact international de la pandémie sur les libertés publiques, la justice et la sécurité juridique. Caroline Duclercq a notamment échangé, dans le cadre de son panel sur « La justice menacée par la Covid-19 : les remèdes » et plus particulièrement sur « L’arbitrage en ligne : modèle pour la justice civile ? ».

Les travaux du Congrès, placés sous l’autorité de Achille Ngwanza, ont été rassemblés et publiés dans un ouvrage remis à tous les participants.

Dans le cadre de l’appel à projets organisé par le Fonds de dotation Medici for Equality, la première phase de dépôt des dossiers est désormais close !

Pour la première édition du Prix Medici for Equality, nous avons reçus plus de 220 candidatures pour obtenir le financement d’un projet mené par une association ayant pour objet la lutte contre les discriminations.

Les dossiers seront étudiés et sélectionnés par un Comité d’attribution composé des membres fondatrices du Fonds de dotation et d’un Comité consultatif.

Merci à toutes et à tous pour vos participations.

Rendez-vous début 2022 pour les résultats !

Le cabinet Medici est fier d’annoncer que les associées figurent une nouvelle fois dans le prestigieux classement Who’s Who Legal – Arbitration, édition 2022.

Caroline Duclercq figure dans la catégorie « Leader » (Global Guide) en tant que « Recommended practitionner ». Marie-Laure Bizeau et Valence Borgia sont une nouvelle fois reconnues parmi les « Future Leaders » (Global Guide).

Lien vers les classements :

• Marie-Laure Bizeau https://whoswholegal.com/marie-laure-bizeau
• Valence Borgia https://whoswholegal.com/valence-borgia
• Caroline Duclercq https://whoswholegal.com/caroline-duclercq
• Classement général https://whoswholegal.com/market-insight-tool?&practitioner=1&practicearea=46&regionid=8&countryid=250&sortby=1

Le CMAP a récemment dévoilé son Règlement d'arbitrage révisé qui entrera en vigueur à compter du 1^er janvier 2022, dont l’objectif est d'améliorer l'efficacité et la flexibilité des procédures arbitrales.

Valence Borgia, associée du cabinet Medici, est intervenue, à l’occasion du 25 novembre 2021, Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, et dans le cadre de la 7^ème rencontre interprofessionnelle de l’Observatoire parisien des violences faites aux femmes, à une web-conférence consacrée à la thématique : « Le sexisme aux racines des violences faites aux femmes », ce mardi 23 novembre, l’évènement se déroulant de 9h30 à 17h.

Cette journée est consacrée à approfondir la notion de sexisme, qui reste encore très ancrée dans nos sociétés, et le lien entre ces croyances et attitudes discriminatoires et les violences commises à l’encontre des filles et des femmes.

Valence Borgia, en qualité d’avocate et de co-fondatrice de la Fondation des femmes, est intervenue en tant que modératrice lors de la table ronde n° 2 portant sur : « Quels recours contre les violences sexistes et sexuelles ? ».

Pour retrouver le programme de la conférence, cliquer ici.

Cette intervention et la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes sont l’occasion de rappeler les valeurs portées par le cabinet Medici et ses actions menées via le Fonds de dotation pour la promotion de l’égalité Femme-Homme, la lutte contre toute forme de violence et de discrimination à l’endroit des femmes et la lutte contre toutes les formes de discriminations prohibées par la loi.

Pour rappel, le Fonds de dotation Medici for Equality a lancé la première édition du prix Medici for Equality 2021 qui a vocation à soutenir des projets orientés vers la lutte contre les discriminations, les candidatures pouvant être déposées jusqu’au 28 novembre 2021.

Pour plus d’informations s’agissant de l’appel à projets du fonds de dotation, cliquer ici.

Le 18 novembre 2021, la première édition du guide pratique de procédure devant les chambres commerciales internationales du tribunal de commerce (CCIP-TC) et de la cour d’appel de Paris (CCIP-CA) a été publiée.

Ces chambres ont été instituées en 2018 « pour adapter le système juridictionnel français aux enjeux économiques et juridiques internationaux contemporains » et connaissent un succès croissant.

Dans l’objectif de toujours contribuer au renforcement de l’attractivité des chambres commerciales internationales et, plus généralement, de la Place de Paris, le guide, disponible à la fois en français et en anglais, est un outil pratique et innovant à l’attention des praticiens qui recense en un seul document les dispositions pertinentes du code de procédure civile et des protocoles de procédure des chambres mais, aussi et surtout, qui précise les attentes desdites chambres, via notamment la publication de modèles, et ce, pour un traitement plus rapide et qualitatif des litiges du commerce international.

A lire et à partager !

Pour télécharger le guide, cliquer ici.

Caroline Duclercq, associée du cabinet Medici, interviendra dans le cadre de la journée d’étude organisée par le Comité Français de l’Arbitrage (CFA) à la Maison de la Chimie le 26 novembre 2021 à l’occasion de son colloque annuel. Cette session de travail portera sur « L’arbitrage en France dix ans après la réforme » et se tiendra sous la direction scientifique d’Yves Derains.

Caroline Duclercq interviendra dans la matinée pour échanger avec le Professeur Maximin de Fontmichel sur « La protection de la partie faible » dans le cadre du panel portant sur « La Convention d’arbitrage » modéré par le Professeur Pierre Mayer.

La participation à ce colloque est validée au titre de la formation continue obligatoire pour une durée de 6 heures.

Pour retrouver le programme de la conférence et s’y inscrire (jusqu’au 22 novembre 2021), cliquer ici.

Arrêt de la Cour suprême du Royaume Uni du 27 octobre 2021 

Dans un arrêt du 27 octobre 2021, la Cour suprême du Royaume-Uni a mis fin à la saga Kabab-Ji outre-manche, en confirmant à l’unanimité, le refus de donner force exécutoire en Angleterre à une sentence arbitrale internationale rendue en France, au motif que le droit anglais régissait le contrat, en ce inclus la clause compromissoire. Or, en vertu du droit anglais, la clause d’arbitrage n’avait pas vocation à être étendue à la partie défenderesse à l’arbitrage, contrairement à ce qu’avaient retenu les arbitres, qui avaient fait application des règles françaises (loi du siège) pour apprécier l’étendue de la clause d’arbitrage et se déclarer compétents.